Le rapport d’activité 2017 de la CPU vient de paraître
Montrer la richesse et la diversité de l’activité de la CPU en 2017 : voici l’objectif du rapport d’activité, édité à l’occasion du colloque annuel de la CPU les 16 et 17 mars à Dijon et consultable ici en version électronique. L’année 2017 se caractérise par un remodelage en profondeur du paysage et des pratiques de l’enseignement supérieur et de la recherche. Et la CPU s’est investie pleinement sur des sujets fondamentaux avec et pour ses membres.
« 2017 a été une année historique pour la CPU. Nous avons entamé notre mandat dans un contexte d’élection présidentielle et nous nous sommes employés, dans un esprit collégial, à prendre la mesure des grands enjeux de notre société en matière d’enseignement supérieur et de recherche. Ce travail a été le fil rouge de l’action des commissions ou comités en 2017 et les propositions émises par la CPU lors de son colloque de Reims ont été initiatrices de débats, inspirant peut-être certaines des réformes que le nouveau gouvernement a mises en chantier », indique Gilles Roussel, président de la CPU, ainsi que Fabienne Blaise et Khaled Bouabdallah, les deux vice-présidents.
Réalisé par l’équipe permanente de la CPU, le présent rapport se divise en deux parties :
– la première partie met en lumière le fonctionnement de la CPU. Organisée en collégialité, avec 129 membres en 2017, la CPU entend porter la voix et les valeurs humanistes et citoyennes de l’Université dans le débat public. Pour ce faire, elle est organisée en commissions et comités thématiques.
– La seconde partie détaille l’activité de chaque commission et comité, dirigé par une présidente ou un président d’université élu(e). On compte huit commissions « Formation et insertion professionnelle », « Recherche et innovation », « Moyens et personnels », « Vie étudiante et vie de campus », « Relations internationales et européennes », « Questions de santé », « Questions juridiques », « Regroupements et politiques de sites » ; et quatre comités, « Transition écologique », « Numérique », « Europe », « Communication et attractivité des universités », ces deux derniers ayant été créés en 2017.
A travers ce rapport se dessinent notamment les liens entretenus au quotidien par la CPU avec les pouvoirs publics, les collectivités locales, et la société civile dans son ensemble. Et pour 2018 ? « La seconde année du mandat du Bureau s’inscrit dans la continuité des travaux engagés au deuxième semestre 2017 : consolidation et amplification de certains acquis mais aussi maintien de certaines revendications », indique le Bureau de la CPU en conclusion.
Sur le même thème