PROGRAMME

8h15-9h00 : ACCUEIL

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9h00 : Début du Congrès – GRAND AMPHITHÉÂTRE DE LA SORBONNE

09h00 – 09h10 : SÉQUENCE 1 : OUVERTURE DU CONGRÈS

Intervenant : Manuel TUNON DE LARA, président de la Conférence des présidents d’université, président de l’Université de Bordeaux

Animation : Jean-Michel CATIN, journaliste

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09h10-10h25 : SÉQUENCE 2 :  L’UNIVERSITÉ AU COEUR DES TRANSFORMATIONS ÉCONOMIQUES ET SOCIÉTALES

Avec plus d’1,750 million d’étudiantes et d’étudiants et près de 150 000 personnels, les universités sont le premier opérateur de formation et de recherche publiques de notre pays. Par leur maillage territorial et leur poids économique, elles jouent un rôle déterminant pour créer, en lien étroit avec leur activité de recherche, les formations et les qualifications de demain. Quel doit être leur rôle dans le développement économique et sociétal des territoires ? Comment les relations avec leurs partenaires peuvent-elles et doivent-elles évoluer au regard des enjeux et des besoins actuels et à venir en matière de formation, de recherche et d’innovation ?

Intervenants :

Pierre-André de CHALENDAR, président de Saint-Gobain

Carole DELGA, présidente de Régions de France

Virginie DUPONT, vice-présidente de la CPU, présidente de l’Université Bretagne Sud

Marylise LÉON, secrétaire générale adjointe de la CFDT

El Mouhoub MOUHOUD, président de l’Université Paris Dauphine

 Animation : Anaïs GERARD, directrice de la rédaction Enseignement et Recherche, AEF

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10h25 – 10h35 : SÉQUENCE 3 : INCARNER L’UNIVERSITÉ

Intervenants :

Manuel TUNON DE LARA, président de la CPU, président de l’Université de Bordeaux

Virginie DUPONT, vice-présidente de la CPU, présidente de l’Université Bretagne Sud

Guillaume GELLÉ, vice-président de la CPU, président de l’Université de Reims Champagne-Ardenne

Animation : Jean-Michel CATIN, journaliste

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10h35–11h: SÉQUENCE 4 : UNIVERSITÉS ET PROSPECTIVE (I)

Intervenant : François BAYROU, haut-Commissaire au Plan

Animation : Jean-Michel CATIN, journaliste

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11h00-11h30 : SÉQUENCE 5 : FACE AU DEFI CLIMATIQUE

Crises climatique et sanitaire, effondrement de la biodiversité, inégalités croisées, démocratie menacée et tensions géopolitiques… Dans ce contexte instable, quelle Université voulons-nous à l’horizon 2030 ? Par la recherche et l’innovation, l’Université doit être considérée comme une « fabrique de solutions » au niveau des territoires, ainsi qu’à l’échelle nationale et internationale. L’Université doit aussi avoir une place beaucoup plus importante dans la vie de la cité, car elle peut déployer une culture des transitions auprès des citoyens, des décideurs et des salariés. Elle doit avoir les moyens de délivrer aux apprenants des compétences systémiques et des connaissances en matière de transition écologique et sociétale pour une meilleure insertion professionnelle. Par la vie de campus, l’Université doit être un lieu d’expérimentation exemplaire en matière de sobriété énergétique. Toutes les parties prenantes de l’enseignement supérieur, dont l’Etat, les collectivités et les entreprises sont concernées.

Intervenants :

Mathias BERNARD, président de l’Université Clermont-Auvergne

Valérie MASSON DELMOTTE, directrice de recherche au CEA, membre du GIEC

Animation : Jean-Michel CATIN, journaliste

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11h30-12h30 : SÉQUENCE 6 : POUR LA RECHERCHE & L’INNOVATION

La recherche scientifique vise à produire des connaissances qui peuvent nourrir l’innovation et répondre aux problèmes qu’affronte la société, et qui sont tout aussi nécessaires à l’enseignement, à l’expertise, à la culture et à la compréhension de l’organisation de nos sociétés. Alors que le potentiel scientifique français est reconnu et de grande qualité, le risque de décrochage de la recherche publique est aujourd’hui préoccupant. Dans une approche souvent systémique et interdisciplinaire dans la compréhension des problèmes de recherche, une production massive de connaissances, diffusées à un rythme accéléré, dans un grand nombre de champs de recherche avec un effet de levier puissant du numérique nécessite des infrastructures entraînant une explosion des coûts liés à des équipements de plus en plus sophistiqués et puissants. Comment faire de l’Université, premier opérateur de recherche au sein de l’organisation française de la recherche, un formidable outil de création des savoirs et d’innovation ?

Intervenants :

Karine LACOMBE, infectiologue, professeure des universités-praticien hospitalier à Sorbonne Université et AP-HP

Maria LEPTIN, présidente de l’European Research Council (ERC)

Sylvie RETAILLEAU, présidente de l’Université Paris-Saclay

Pascale SENELLART-MARDON, directrice de recherche au CNRS, professeure, co-fondatrice de la société Quandela

Bruno SPORTISSE, président-directeur général de l’Institut national de recherche en informatique et en automatique

Animation : Fabrice ROUSSELOT, directeur de la rédaction THE CONVERSATION France

12h25-12h30 : Prix des universités pour la Recherche remis par Karine LACOMBE, infectiologue, professeure des universités-praticien hospitalier à Sorbonne Université et AP-HP et Gilles ROUSSEL, président de l’université Gustave Eiffel

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12h30-12h35 : Prix des universités de l’initiative franco-européenne au service des étudiants remis par Frédérique VIDAL, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation

12H35-12H45 : SÉQUENCE 7 : INTERVENTION DE FREDERIQUE VIDAL, MINISTRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION

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12h45-14h15 : DÉJEUNER LIBRE

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14h25-14h30 : SÉQUENCE 8 : MOT DU PRESIDENT DU SÉNAT, GÉRARD LARCHER (en vidéo)

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14h30-15H00 : SÉQUENCE 9 : UNIVERSITÉS ET PROSPECTIVE (II)

Parce qu’elles assurent l’essentiel du service public de l’enseignement supérieur et de la recherche, les universités sont à la fois redevables de la bonne utilisation des fonds publics, mais aussi garantes de la liberté académique, condition d’une recherche et d’une formation de haut niveau. Comment conjuguer, dans une nécessaire relation de confiance réciproque, le nécessaire approfondissement de l’autonomie des universités et le rôle de régulation des pouvoirs publics, en particulier de l’État stratège ?

Intervenants :

Pierre MOSCOVICI, premier président de la Cour des comptes

Christine NEAU-LEDUC, présidente de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Philippe RAIMBAULT, président de l’Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées

Animation : Anaïs GERARD, directrice de la rédaction Enseignement et Recherche, AEF

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15H-15h30 : SÉQUENCE 10 : POUR UN INVESTISSEMENT PLUS JUSTE ET PLUS EFFICACE

Dans une note de décembre 2021, rédigée pour le compte du CAE, Gabrielle FACK et Élise HUILLERY rappellent les bénéfices, publics et privés, liés à l’enseignement supérieur. Elles pointent toutefois les écarts, dans l’accès à l’enseignement supérieur dans les rendements relatifs aux diplômes, qui sont corrélés aux coûts des formations et très inégaux selon les spécialités et les parcours. Pour réduire ces inégalités, elles recommandent d’augmenter les moyens en licence et en master, d’élargir les critères d’admission dans les filières sélectives, d’ouvrir 150 000 places supplémentaires et de revaloriser les bourses. Si les coûts des mesures qu’elles proposent sont importants, les bénéfices à en attendre sont élevés. Leur mise en œuvre placerait la France, pour la dépense par étudiant, au niveau de l’Allemagne, et encore loin derrière les États-Unis, le Japon ou les pays scandinaves. Quels leviers activer pour y parvenir ?

Intervenants :

 Elise HUILLERY, professeure à l’Université Paris Dauphine, membre du Conseil d’Analyse économique

Pierre MUTZENHARDT, président de l’Université de Lorraine

Animation : Jean-Michel CATIN, journaliste

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15h30-16h00 : Pause

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16H00-17h15 : SÉQUENCE 11 : POUR LA JEUNESSE ET LES ETUDIANTS

Le temps des études offre la possibilité d’expériences multiples pour les étudiants : engagement associatif, salariat, bénévolat, entrepreneuriat, activités festives, constitution de réseaux, etc. Ces activités s’exercent en parallèle des études, parfois les croisent, les enrichissent ou encore les percutent. Parce qu’il est essentiel de rendre les étudiants davantage acteurs de leur formation, parce qu’il faut répondre au besoin de sens exprimé par les nouvelles générations à propos de leur parcours d’étude et de leur projet professionnel, comment valoriser l’acquisition de nouvelles compétences, encourager le travail en coopération, accompagner l’engagement des jeunes et favoriser leur apprentissage de l’autonomie sur les campus ? Comment les universités peuvent-elles donner les moyens aux étudiants de s’épanouir dans toutes les dimensions de l’expérience universitaire en s’adaptant aux attentes et aux usages ?

Intervenants :

Sarah BILOT, déléguée générale d’Animafac

Aurélien BROSSARD, vice-président étudiant de l’Université de Poitiers

Alain BUI, président de l’Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines

Virginie LAVAL, présidente de l’Université de Poitiers

Jordan POTHAIN, étudiant à l’Université Grenoble Alpes, sportif de haut niveau

Animation : Anaïs GERARD, directrice de la rédaction Enseignement et Recherche, AEF

17h05-17h15 : Prix des universités pour l’engagement étudiant remis par Guillaume GELLÉ, vice – président de la CPU, président de l’Université de Reims Champagne-Ardenne

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17H30-20H00 : SÉQUENCE 12 : CLÔTURE DU CONGRÈS

Intervention de Manuel TUNON DE LARA, président de la Conférence des présidents d’université,
président de l’Université de Bordeaux
Intervention d’Emmanuel MACRON, président de la République (en visio-conférence)

20h : FIN DU CONGRÈS