Condamnation de Fariba Adelkhah : la CPU réaffirme sa demande de libération
Malgré le soutien que la communauté universitaire n’a eu de cesse de lui apporter, notre collègue franco-iranienne Fariba Adelkhah vient d’être condamnée à cinq ans d’emprisonnement par un tribunal iranien pour « collusion en vue d’attenter à la sûreté nationale ».
Les difficultés que nous connaissons actuellement ne nous font pas oublier notre collègue, et renforcent les inquiétudes que nous avons quant à la précarité de sa santé et de sa situation.
La Conférence des présidents d’université n’aura de cesse de lutter pour la libération de Fariba Adelkhah et réaffirme le nécessaire principe de l’indépendance de la recherche. Elle soutiendra toute nouvelle initiative des autorités françaises annoncée par le ministre des Affaires étrangères poursuivant cet objectif.
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